Wednesday, October 25, 2006

Mr Excitement !

Jackie Wilson, plus cheesy, plus chic tu meurs.
Qualifié par certains comme « le elvis noir », il avait une voix d'ange, absolument hallucinante quand il partait dans les aigus, même si c'était pas un contre-ténor non plus.

Ses chansons traitent à peu près toutes de la même chose, les femmes, l'amour, et les femmes et l'amour. Aussi bien en mode polka hardcore que slow qui frotte, Jackie assure.

Sa marque de fabrique, orchestre à cordes ou cuivres, choeur féminin derrière et grands départs dans les aigus, est à la fin des années 50, au début de sa carrière, très courue. Bon, c'est sûr que maintenant, même Calogero n'oserait pas. N'empêche, ça avait de la gueule. Petit exemple avec "Lonely Teardrops" :

Merci à Monkeyfunk pour la découverte.

Pour plus d'infos sur le bonhomme, voir allmusic ou ce site, où on croit entendre les violons tellement il est fait façon 1995...

Si vient l'envie d'acheter des disques, attention, il a pondu beaucoup de trucs très moyens, il est donc recommandé de faire dans le best of.

Au programme, un titre plutôt swingant, "Reet Petite", son premier tube, co-écrit avec un certain Berry Gordy, futur fondateur de Motown Records... et un autre plutôt loooove.

Jackie Wilson – A woman, a lover, a friend

Jackie Wilson – Reet petite

Jackie Wilson, the not famous enough black elvis

Incredible dancing skills, voice difficult to match, Jackie Wilson had everything. Elvis Presley was a true fan, and a close friend.

Jackie's songs are somewhere between the cheesy and the rocking, it depends on which you listen to. It's at a crossover, both as a musical type and for its time, between genuine original rythm & blues and pop.

The lyrics are, of course, incredibly smart and original, but you had already guessed this.

If you like big violins, women's chorus, splendid voice capable of incredible high-pitchs and bananas, Jackie's the man, Jackie's your man.

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