Lé rétour
Pas facile facile.
Donc, petits scarabés, quelques leçons de cette odyssée extrême-orientale.
En musique du jour, Maria de Barros. Cap-verdienne des USA, Maria de Barros fait une musique qui casse pas des briques mais bien sympathique. Et elle a tiré au moins une leçon des Etats-Unis : ne jamais oublier son avocat. Et hop, dans les notes de pochette.
Maria de Barros, je suis tombé dessus, enfin figurativement, dans un genre de Courir singapourien, alors que les deux soeurs folles en quête de la grolle idéale que je chaperonnais martyrisaient un pauvre vendeur. Je comprends toujours pas comment un disque aussi inconnu que celui-ci a pu atterrir dans la sélection d'un magasin de pompes au bout du monde, mais c'est un fantabulous prétexte pour en parler.
Never fly KLM, unless they pay you or threaten you.
Never trust a banker's lemon tree, he's just here to sell you insurance.
Even if you like chilli a lot and have become very accustomed to it, you'll always be a white man.
When two crazy sisters tell you they're just looking for a pair of running shoes, run AWAY. Or you will see how a poor shoe salesman can be tortured. Then, after the 3rd pair of shoes, you realise that, shit, you know this song, but what the hell is it doing here ?
Something extremely unlikely to be heard in Singapore in a big shoestore, not very famous cape-verdean music. Maria de Barros is a cape-verdean long settled in the USA, and her music is made of sweet classical mornas and coladeiras . The tune that was played is definitely a good one. It's, as a matter of fact, the only one I recall from her first album, Nha Mundo.
Donc, petits scarabés, quelques leçons de cette odyssée extrême-orientale.
1) KLM. Jamais, sous aucun prétexte, ne faire un vol long courrier sur KLM.
2) Ne jamais décider d'essayer de sauver le citronnier mourant d'une banquière en instance d'exil. Déjà, on peut jamais faire confiance à une banquière. Donc encore moins à son citronnier. On s'était même cassé le cul pour lui trouver une belle soucoupe et lui il a mourru. Ingrat, va.3) Ne jamais ignorer les mises en garde de type « attention, ça c'est fort ». Même si en trois semaines j'avais bien gagné 5 ou 6 dan en résistance aux épices, j'étais pas de taille. L'ail remixé avec de l'ail, c'est méchant. Vert pâle, genre wasabi pour femmelettes. Rien du tout.
En musique du jour, Maria de Barros. Cap-verdienne des USA, Maria de Barros fait une musique qui casse pas des briques mais bien sympathique. Et elle a tiré au moins une leçon des Etats-Unis : ne jamais oublier son avocat. Et hop, dans les notes de pochette.

Maria de Barros - Riberonzinha
You, yes, you, fellow traveller, eager to discover the many wonders of The Unknown and Mysterious Asia (the Real one), beware.Never fly KLM, unless they pay you or threaten you.
Never trust a banker's lemon tree, he's just here to sell you insurance.
Even if you like chilli a lot and have become very accustomed to it, you'll always be a white man.
When two crazy sisters tell you they're just looking for a pair of running shoes, run AWAY. Or you will see how a poor shoe salesman can be tortured. Then, after the 3rd pair of shoes, you realise that, shit, you know this song, but what the hell is it doing here ?
Something extremely unlikely to be heard in Singapore in a big shoestore, not very famous cape-verdean music. Maria de Barros is a cape-verdean long settled in the USA, and her music is made of sweet classical mornas and coladeiras . The tune that was played is definitely a good one. It's, as a matter of fact, the only one I recall from her first album, Nha Mundo.
1 Comments:
t'étais où ? t'as vu panda ? hey, je serai à Londres du 13-15 juillet. seras-tu là ?
Cheers,
Matt
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