Monday, December 04, 2006

Et le pire, c'est que j'ai arrêté la drogue

Trastevere, Novembre 2006
Au British Museum, passées la pierre de Rosette, quelques tonnes d'égyptiens poussiéreux et des pièces de monnaie à n'en plus savoir que foutre, on arrive dans la salle des horloges.
Tic-tac, tic-tac. Tic-tac (elles sont pas synchronisées entre elles bien sûr). Tac-tic. Tac. Des machins étranges, partout.
Le tic-tac permanent aidant, je me retrouve vite fait dans le film de Mathieu.
Les horlogers fous se suivant et ne se ressemblant pas, je tombe sur monsieur Sylar.
Et là, je flippe. Je veux pas qu'on ouvre ma tête comme une boite de thon. Je ne suis pas un héros. Nininin.

De passage dans ma tête en même temps que ce léger trip , Looptroop. Ils sont suédois, on les aime bien, c'est un peu bizzarre. Ils disent qu'ils font du hip-hop, on sait pas trop. Mais bon, ils sont suédois, aussi.
Dans la série des hommes du Nord, je vous parlerai bientôt de Timbuktu.

Looptroop - Brevfankabinetten

Hum...
Sometimes you find yourself in a place which is supposed to take you somewhere else. There is some kind of gap between where you're supposed to end and where you actually land.
It happened today in the British Museum. Looking at several dozens of clocks, I found myself there and there.
I could hear in my head that strange Looptroop song, er, instrumental track. Swedish people, they never knock before making noise in your head.

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